Pourquoi les navires ne sont-ils pas envoyés à la casse alors que tout s'y prête ?

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Crédit photo ©DW/Hansen
Toutes les conditions s'y prêtent mais rien n'y fait. Cela fait deux ans que les observateurs du marché promettent une arrivée massive de navires dans les chantiers de démantèlement. Il faut remonter à 2008 pour trouver un recyclage de navires aussi faible et de façon si prolongée. Plus de 15 000 (vieux) navires devraient pourtant faire l'ultime voyage.
Rien n’y fait. Ni la surcapacité de navires, ni la demande de transport déprimée, ni les taux de fret au plancher, ni l’âge avancé de certaines catégories de navires qui va les rendre « hors la loi » par rapport aux exigences réglementaires durcies en matière d’émissions carbone. Les armateurs rechignent à envoyer leurs navires à la casse.

Selon les données du Bimco, association d’armateurs et de propriétaires de navires au niveau international, le recyclage des vraquiers, des pétroliers et des porte-conteneurs a atteint son niveau le plus bas depuis 20 ans. En moyenne, seul 0,1 % de la flotte a été…
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