Les constructeurs navals japonais semblent avoir laissé à leurs voisins chinois et sud-coréens la course aux commandes et aux livraisons dans les navires conventionnels, y compris sur les méthaniers. Ils sont en revanche en train de prendre une réelle avance dans les concepts de navires transportant ou carburant avec des alternatives vertes. L’ammoniac tient la corde. Dans le même temps, la production et l’avitaillement de ce futur carburant se développent.
Les chantiers navals japonais, qui font encore partie du trio de tête de la construction navale mondiale mais largement distancés désormais par les constructeurs sud-coréens et chinois, semblent avoir définitivement laissé à leurs concurrents le tout-venant. En revanche, ils sont particulièrement actifs sur les navires qui navigueront avec des carburants alternatifs. Le CO2 liquide et l’ammoniac cristallisent leurs centres d’intérêts. Et ils multiplient les associations industrielles, la R&D et les projets dans ce sens.L’actualité…
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