Ce sont des navires anciens, dont les pratiques d'exploitation ne sont pas conformes aux normes en vigueur. Ils sont plébiscités quand il s'agit de se livrer à des activités illicites ou se soustraire à des sanctions. Ils questionnent la chaîne de responsabilités en cas de sinistres. Les assureurs maritimes s'inquiètent de leur prolifération.
Les assureurs tirent la sonnette d’alarme sur la prolifération de navires à la propriété et aux conditions d’exploitation opaques, dont le bataillon s’étoffe toujours plus, a fortiori depuis que le pétrole a dépassé les 60 $, une sanction du G7. Le mécanisme, consistant à fixer un prix-plafond pour assécher les rentes pétrolières de la Russie sans pour autant mettre le monde à sec de pétrole, exclue d’emblée les opérateurs occidentaux du transport maritime de pétrole russe.Depuis le mois de juillet, le plafond fixé à 60 $ pour le brut et à 100 $ pour les produits pétroliers…
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