Arrivée des porte-conteneurs ultra-larges, émergence de carburants inéprouvés, retour en force des exploitants-propriétaires, nouvelle phase dans les alliances.., c'est un saut vers l'inconnu qui s'offre au secteur du conteneur. A une échelle de temps accélérée.
En toute connaissance du ralentissement de la demande de transport, les « armateurs ont toujours envie de commander de nouveaux porte-conteneurs », s’étonne faussement Niels Rasmussen, analyste du transport maritime pour l’organisation maritime Bimco, à laquelle adhèrent les exploitants de navires, tous segments confondus (2/3 du tonnage mondial). L’économiste fait référence au carnet de commandes contracté ces trente derniers…
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