La nature a horreur du vide. Les flux du vrac sec, rompus aux tensions géopolitiques, sont d’ordinaire les plus plastiques. Ils le prouvent à nouveau. Des premiers mouvements s’observent. Les taux de fret des vraquiers ont brusquement changé de cap ces derniers jours.
Avec des ports en grande partie fermés, des navires marchands empêchés d'entrer dans la mer d'Azov, les conditions ne sont pas idéales pour les exportations de céréales…
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