Taxe au tonnage, flotte stratégique, net wage, dumping social : les échecs et les succès des armateurs français

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Á l’occasion d’un passage de flamme à la tête d’Armateurs de France, Jean-Emmanuel Sauvée cédant la barre à Édouard Louis Dreyfus, les armateurs sont revenus sur tous les sujets qui fâchent. Avec un mélange de réflexes corporatistes et de réponses sinon convaincantes du moins de convaincus.  
Nouvelle incarnation pour Armateurs de France. Après deux mandats effectués en trois ans, Jean-Emmanuel Sauvée a passé la barre de l’organisation professionnelle le 4 avril à Édouard Louis-Dreyfus, pour un mandat de deux ans. Deuxième du nom à présider le syndicat alors que son père, Philippe Louis-Dreyfus, a été aux commandes, entre 2002 et 2004, mandat marqué par la création du Rif, le registre international français, et la très controversée taxe au tonnage.

Des tempêtes…
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