Dans le cadre du plan de sobriété énergétique lancé par le gouvernement pour réduire, dans un premier temps, de 10 % la consommation d’énergie, les principaux acteurs du transport ont été reçus le 6 septembre à l’hôtel de Roquelaure pour présenter leurs propositions. Parmi eux, les représentants des grands ports maritimes et le gestionnaire du réseau fluvial.
En 2020, la « résilience » avait colonisé le champ lexical ad nauseam. En 2022, la « sobriété » est entrée dans la grammaire des affaires ex cathedra. À la faveur d’un risque de ruptures d’approvisionnement en gaz. Il aura fallu ce énième coup du sort après la flambée des prix des matières premières, l’envolée des coûts de transport, et des pénuries généralisées en raison des perturbations à tous les échelons de la chaîne d’approvisionnement mondial pour que l’économie de…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?