La France a été la première destination du GNL américain en mars

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La rupture des liens énergétiques avec le gaz de l’agresseur russe est-elle enclenchée ? Les statistiques sont têtues. L’Europe semble avoir entamé son sevrage pour s’affranchir d’une dépendance monomaniaque avec un fournisseur principal alors que les États-Unis sont en train de lui ravir le rôle. Ou du moins dans la transition. 


L'Europe commencerait-elle à se sevrer vraiment du gaz russe alors que REPowerEU, le plan de la Commission européenne, vise à réduire sa dépendance des deux tiers cette année. Avec 155 milliards de m3 (Gm3) annuels, la Russie représente 45 % des importations de gaz et près de 40 % de la consommation de l'UE. Le commerce bilatéral de gaz naturel et de GNL entre les vingt-sept États membres européens et la Fédération de Russie est estimé à 20 Md$.

La question d'un éventuel embargo sur les énergies russes (au-delà du charbon, plus facile à substituer) ne fait toujours pas consensus au sein de la communauté européenne…
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