Légèrement mieux que Maersk, les bénéfices d'exploitation du numéro cinq mondial de la ligne régulière ne plongent « que » de 53 % au cours du premier trimestre. Résultat net, recettes, volumes, taux de fret moyen, tout est à l'avenant. La route Atlantique a fait office de sanctuaire pour les taux de fret en ce premier trimestre.
Le marché n’est pas en grande forme, convient Rolf Habben Jansen, le directeur général de Hapag-Lloyd. Parmi les meilleurs élèves de la ligne régulière en termes de rentabilité, l’armateur allemand de porte-conteneurs n’a pas mieux résisté que son concurrent danois aux nuages sombres qui ont enveloppé le secteur après deux années rayonnantes de lumière.
Au cours du premier trimestre, le bénéfice d'exploitation avant intérêts, impôts et amortissement (Ebitda, équivalent français de l'excedent brut d'exploitation) a chuté de 53,2 % comparé à celui de l’année…
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