En sortant du vrac sec, Louis Dreyfus Armateurs met un point final à une longue histoire

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Avec LDA, la France a rendez-vous avec son histoire maritime et industrielle. Il ne peut en être autrement quand il s’agit de la plus vieille compagnie maritime du pays. Louis Dreyfus Armateurs aura accompagné les grands mouvements du vrac à la française. Et contribué à écrire tout un pan de l’histoire du charbon et de la sidérurgie. Aujourd’hui, l’entreprise a largement opéré sa mue vers des services industriels en mer à haute valeur ajoutée, nouvel horizon du shipping en Europe.
Il y a quelques jours, Louis Dreyfus Armateurs a tourné la dernière page d’une histoire que les premières générations du groupe familial ont commencé à écrire il y a 160 ans. Seuls ceux qui ont perdu le fil de l’armateur français (2 500 personnes, 70 navires) auront été surpris par la vente de douze handysize (15 000 et 35 000 tpl) et d’un supramax (40 000 à 60 000 tpl), ces « petits » vraquiers sur lesquels l’historique spécialiste…
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