Déroutement des navires : y-aura-t-il du carburant dans les ports africains ?

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Soutage au port de Walvis Bay

Premier remplissage de VLSFO au port de Walvis Bay réalisé en février 2021. Le port est géré par l'entreprise publique Namibian Ports Authority.

Crédit photo ©Monjasa Namibia
Les questions de l'approvisionnement en carburant et des capacités de soutage des ports africains pour faire face à l'afflux de navires susceptibles d'être déroutés viennent compléter la longue liste des incertitudes qui accompagnent le déroutement des navires par le cap de Bonne-Espérance.
« La demande de combustibles de soute augmentera en raison des voyages plus longs et des vitesses de navigation éventuellement plus élevées », a lancé sur LinkedIn, tel un pavé dans la mare, Arne Lohmann Rasmussen, analyste en chef chez Global Risk Management. Pour cause, le cabinet de conseil, qui fournit des couvertures sur les marchés de l'énergie, est une filiale de Bunker Holding, l’un des grands fournisseurs de carburants pour le transport maritime avec Monjasa et World Fuel.

« On nous signale déjà une augmentation de la demande dans les ports africains, alors que les entreprises de soutage d'ARA [Amsterdam, Rotterdam et Anvers] et d'Asie sont moins touchées. Ce n'est pas surprenant car les…
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