Du slow-steaming au just-in-time

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Informer les navires de l’heure exacte de disponibilité des quais où ils doivent s’amarrer dans leur prochain port d’escale pour qu’ils puissent adapter leur vitesse en conséquence, en particulier dans les 12 heures précédant leur arrivée, telle est la proposition principale émanant de l’étude commandée par le port de Rotterdam à l’institut de recherche TNO, et présentée le 18 octobre dernier au cours de la réunion de l’OMI sur la réduction des émissions polluantes des navires. En complément du slow steaming, proposition que soutient l’État français (cf. 73e Comité de protection du milieu marin:Des sujets (très) délicats au menu sur www.journalmarinemarchande.eu), qui consiste à réduire globalement la vitesse des navires sur l’ensemble d’une traversée, l’étude propose d’adopter aussi le « just-in-time » en adaptant son heure d’arrivée aux capacités de réception du port, lui évitant…
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