Le temps de l’Afrique portuaire

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« Dix ans. Il n’en fallu pas beaucoup plus pour changer radicalement le visage portuaire du continent.Entre 2007 et 2017, pas moins de 50 Md$ y ont été investis, relève Proparco, filiale de l’Agence française de développement. Stimulés par l’ouverture des activités au privé, les échanges avec l’Asie et la dynamique de ses marchés intérieurs (certaines économies sont en croissance de 10 %), le continent enregistre depuis 2000 une croissance continue proche de 10 % de ses trafics maritimes. Le temps que la Chine s’y impose en investisseur et bâtisseur, l’Europe et la France – qui ont tardé à considérer l’Afrique pour ce qu’elle est: une zone d’intérêt économique majeur avec des accès à des passages maritimes stratégiques pour le commerce maritime – se sont effacées.« Le basculement des flux est une réalité: il y a 20 ans, l’Europe tenait une place largement dominante en tant que destination privilégiée…
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