La donne pourrait-elle changer?

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Paradoxalement, la Chine s’est imposée en Afrique en tant qu’investisseur et bâtisseur de premier choix mais a laissé à d’autres l’opportunité d’opérer les terminaux portuaires ultramodernes qu’elle a pourtant financés et auxquels elle apporte la majorité des flux. Contrairement au mode de fonctionnement observé par les entreprises asiatiques chez elles. Telles China Merchants Group (CMG) et sa filiale, China Merchants Port Holdings, 5e manutentionnaire mondial, qui intervient sur les terminaux les plus importants de son pays. Sur le continent africain, elle a manifestement choisi de s’effacer à chaque fois derrière un opérateur de référence, comme avec Bolloré Logistics pour le terminal de Lagos-Tincan, dont le conglomérat détient 47,5 %, et Til-Maersk pour le Lomé Container Terminal (LCT) qu’il possède pour moitié.La mise en concession progressive des terminaux portuaires a donc été préemptée, un peu par la plupart des grands armements – Maersk avec sa…
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