L’objectif est d’atteindre un trafic de 12 Mt par an, alors qu’il flirte actuellement avec les 10 millions de tonnes, et d’accroître le report du transport terrestre sur le rail de 20 %, sachant que La Rochelle a déjà quelques longueurs d’avance en la matière.Grâce aux aménagements prévus, Chef de Baie est destiné à devenir un hub pour la pâte à papier, la porte atlantique de ce trafic. Le port aime rappeler qu’il est le deuxième européen pour ce trafic, certes très loin derrière Flessingue, mais clairement spécialisé lui aussi. Déjà, il a réalisé des opérations spots en réceptionnant de grands navires de pâte à papier dont la marchandise est ensuite repartie par mer vers la péninsule Ibérique. L’objectif est donc d’organiser encore davantage ces trafics et de desservir à partir de La Rochelle l’Europe du Sud, l’Espagne et le Portugal dans un premier temps et, à terme, pourquoi pas l’Italie, les pays du Maghreb…
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