La sidérurgie n’a pas pu compenser les céréales

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Les vracs solides se répartissent en deux catégories. D’une part, les principaux vracs qui regroupent le charbon, le minerais de fer ou les céréales. D’autre part, les « petits vracs » qui sont surtout des trafics de niche ou ceux liés au BTP.

Globalement en Europe, il est difficile de tirer un enseignement continental de ces vracs. Les vracs liés à l’alimentation, qu’il s’agisse de céréales mais aussi d’alimentation animale ou d’autres trafics, ont enregistré globalement des baisses. Cela s’est surtout fait ressentir en fonction de la campagne céréalière. La récolte, en France, des céréales en 2016 a été particulièrement désastreuse. Il s’en est suivi une campagne d’exportation tout aussi difficile. Les grands ports céréaliers hexagonaux, Haropa-Port de Rouen, La Rochelle, Bordeaux, Dunkerque, Nantes-Saint-Nazaire, Sète et Marseille-Fos, ont subi de plein fouet ce secteur. Une année qui peut se diviser en deux. Sur le premier semestre,…
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