Face à la fin annoncée du passeport européen, les compagnies organisent dès à présent l’après-Brexit. « Notre première option était de continuer avec un accès au marché unique et le passeport européen, et nous continuons d’apporter en ce sens notre soutien au gouvernement britannique, résume Guy-Antoine de la Rochefoucauld, directeur général du Lloyd’s en France. La deuxième option était de négocier, dans chacun des pays européens, un agrément pour une succursale en tant qu’assureur non européen. La troisième option, celle qui a finalement été retenue, était de créer une filiale dans un pays membre de l’Union européenne. »
Des surcoûts non négligeablesLe Lloyd’s a déjà dû passer par l’installation d’une filiale pour se développer en Chine. « Ce n’est pas inédit pour nous », insiste-t-il. Toutefois, l’installation d’une filiale implique des surcoûts…
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