Un « oui, mais » pour le creusement de l’Elbe

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Les juges ont considéré que les mesures de protection prévues pour préserver une espèce rare de fenouil d’eau (Schierlings-Wasserfenchel) qui ne pousse que sur les berges de l’estuaire de l’Elbe étaient insuffisantes. Ceci pourrait repousser l’opération de un à deux ans, au grand dam des représentants de l’économie portuaire dont dépendent 150 000 emplois. Le projet de creusement prévoit un approfondissement et un élargissement du lit de l’estuaire de l’Elbe, ceci afin de faciliter les allées et venues des navires, de même que l’accueil à tout moment de porte-conteneurs d’un tirant d’eau d’un maximum de 13,5 m, et même de 14,5 m à marée haute. Ce projet, d’un coût de 760 M€, doit permettre au grand port hanséatique de booster une activité en net recul depuis 2009. Cependant, trois grandes ONG environnementales (Bund, Nabu et WWF) ont porté plainte contre une action qu’elles jugent inutile et qui va affecter les écosystèmes…
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