La ShipRight procedure – autonomous ship complète un premier guide paru en février sur la mise en œuvre des technologies de l’information et de la communication dans le transport maritime (Deploying Information and Communications Technology in Shipping – Lloyd’s Register’s Approach to Assurance). Le deuxième guide précise le cadre que définit le Lloyd’s Register pour évaluer les risques liés à l’automatisation croissante des navires et, bien sûr, tenter de les réduire à un niveau « aussi bas qu’il est raisonnablement possible ». Pour commencer par le commencement, le Lloyd’s Register définit sept niveaux d’autonomie du navire cybercompatible.Niveau 0: le navire est totalement manuel. Toutes les décisions prises sont d’origine humaine et les actions menées à bord, manuelles. Cela dit, des systèmes embarqués peuvent avoir une certaine autonomie comme le contrôle à distance des machines. L’affichage des données (niveaux de ballasts, direction…
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