Cette mobilisation des syndicats de dockers du 7 juillet est destinée à alerter les pouvoirs publics de tous les États sur cinq points: la santé et la sécurité au travail, le respect des accords et du droit syndical contre la précarité des travailleurs portuaires, l’application des standards dans les sociétés mondiales et, enfin, l’automatisation.Concernant la santé et la sécurité au travail, les deux organisations syndicales souhaitent que tous les salariés sur les quais disposent d’une plus grande formation et que la sécurité soit abordée en coopération avec les syndicats locaux. « Face au gigantisme des navires et devant la pression que les armateurs imposent aux manutentionnaires, les travailleurs sont obligés de travailler plus longtemps et plus vite, augmentant ainsi les risques d’accidents », indique un texte des organisations syndicales.
Sécurité d’emploi pour tousQuant à la lutte contre la précarité de l’emploi, les deux organisations syndicales…
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