Le nouveau ministre italien des Transports confronté aux embûches de la coalition

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Maurizio Lupi, ministre des Transports italien, est un proche de Silvio Berlusconi.

Crédit photo © DR
La tâche s'annonce ardue en Italie pour le nouveau ministre des Infrastructures et des Transports, Maurizio Lupi. Comment gérer les dossiers du TRM dans un gouvernement de coalition ? Les transporteurs de l'Unatras craignent le sur-place.
Le nouveau gouvernement italien doit-il s'attendre à avaler des couleuvres pour exister dans la durée ? Sous l’égide du président du Conseil, Enrico Letta (46 ans), membre du parti démocrate (centre gauche), il est constitué d’une équipe de 21 ministres, dont l’âge moyen est de 53 ans.
C’est précisément l’âge de Maurizio Lupi, le ministre des Infrastructures et des Transports, en poste depuis le 28 avril 2013.
Une équipe toutes tendances
Membre du parti de Silvio Berlusconi (Parti de la Liberté), le titulaire du portefeuille des Transports est suppléé par un vice-ministre, Vincenzo De Luca (centre-gauche) et de deux sous-secrétaires d’État : Erasme De Angelis (écologiste) et Rocco Girlanda (Parti de la Liberté).
Fait marquant, Maurizio Lupi s’est adjoint les services d’un conseiller personnel, Bartolomeo Giachino, ancien sous-secrétaire d’État aux Transports sous le gouvernement Berlusconi.
Rencontre avec l’Unatras
Pour le TRM, faut-il s’attendre…
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