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L’Hôtel de Logistique Urbaine lyonnais en quête d’occupants

Supply Chain Magazine | Supply Chain | publié le : 17.02.2022 | Dernière Mise à jour : 17.02.2022

Une dizaine de cellules sont proposées à la location sur l’Hôtel de Logistique Urbaine en cours de construction sur port Edouard Herriot de Lyon, à deux pas du stade Gerland.  

Crédit photo AREP

L’Hôtel de Logistique Urbaine de Lyon est en phase de commercialisation, via un "Appel à Manifestation d’Intérêt pour la recherche d’occupants". C’est tout début janvier qu’a finalement été lancée la construction de cet ensemble de plusieurs bâtiments développant près de 29 000 m² dans le 7ème arrondissement dont la livraison est prévue sur le premier semestre 2023.

L’Hôtel de Logistique Urbaine annoncé sur le port Edouard Herriot à Lyon est en phase de commercialisation, via un "Appel à Manifestation d’Intérêt pour la recherche d’occupants". C’est tout début janvier qu’a finalement été lancée par Quartus la construction de cet ensemble de plusieurs bâtiments développant près de 29 000  dans le 7ème arrondissement (+2 300  de tertiaire), dont la livraison est prévue sur le premier semestre 2023.

Cross-docking et stockage flexible

Mais c’est d’ici le 8 mars prochain que les candidatures doivent être déposées pour décrocher une ou plusieurs des 10 cellules proposées à la location (de 834 à 2 283 m²) et des espaces tertiaires attenants, le tout répartis sur différents niveaux mais avec un accès véhicules pour toutes les surfaces logistiques. Une partie de plain-pied est en revanche précommercialisée auprès de La Poste et ses filiales, le groupe figurant aux côtés de Lyon Parc Auto, la Caisse des Dépôts et la SERL comme actionnaire de la société HLU, lauréate de l’appel à projets pour valoriser ce foncier de 4,8hectares très bien placé dans le tissu urbain lyonnais, aux portes de sa Zone à Faible Émissions (ZFE) instituée en janvier 2020.

Tourné vers une "distribution urbaine durable", le site est organisé pour le cross-docking et un "stockage flexible" orienté colis (mais sans ICPE), et impose aux futures utilisateurs d’assurer au moins 50 % de leur flux aval en véhicules propres et autres "modes doux" (et le bailleur annonce des remises de loyer pour ceux qui iraient au-delà de 60 %, qui s’inscriraient dans la même démarche sur leur flux amont, ou entendraient opérer en mode multimodal via la voix d’eau voisine).

Lire l'intégralité de l'article sur www.supplychainmagazine.fr

Auteur

  • Maxime Rabiller

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