À 3,4 millions de tonnes, le Grand Port maritime de la Martinique a achevé 2015 sur un recul de 4,8 %. Pourtant, les vracs liquides ont progressé de 4,2 % pour atteindre à fin 2015 1,64 million de tonnes. Cette croissance globale traduit, selon le directeur général, "une bonne activité du raffinage". À l'instar de nombreux ports occidentaux, à 709.000 tonnes, le GPMLM a importé 11 % de plus de pétrole brut cette année. Il souligne également l'augmentation de 9,5 % des volumes import de la centrale EDF de Bellefontaine qui ont atteint 157.000 tonnes.
Quant aux vracs solides, à 239.700 tonnes, ils ont baissé de 1,6 %. Pourtant, cette filière a connu une croissance de 4,5 % des céréales (54.000 tonnes environ) et de 3,4 % du clinker (148.000 tonnes), qui baissait régulièrement depuis quelques années.
Conteneur : le port victime des pertes du transbordement
Quant aux diverses, elles ont reculé de 13 % en tonnage, passant de 1,76 million de tonnes en 2014, à 1,52 Mt. À 1,06 Mt, les marchandises conteneurisées ont baissé de 17 %, contre 1,28 Mt en 2014.
En nombre d'EVP, le repli s'élève à 7,2 %. L'année s'est finie sur un volume de 159.474 EVP contre presque 172.000 EVP l'année précédente.
Jean-Rémy Villageois reconnaît que cette baisse est due à la perte des transbordements. Il rappelle que l'armateur français CMA CGM a dérouté mi-2015 ses volumes vers la Guadeloupe en raison des conflits sociaux qui avaient sévi à la Martinique.
Quant aux vracs solides, à 239.700 tonnes, ils ont baissé de 1,6 %. Pourtant, cette filière a connu une croissance de 4,5 % des céréales (54.000 tonnes environ) et de 3,4 % du clinker (148.000 tonnes), qui baissait régulièrement depuis quelques années.
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Quant aux diverses, elles ont reculé de 13 % en tonnage, passant de 1,76 million de tonnes en 2014, à 1,52 Mt. À 1,06 Mt, les marchandises conteneurisées ont baissé de 17 %, contre 1,28 Mt en 2014.
En nombre d'EVP, le repli s'élève à 7,2 %. L'année s'est finie sur un volume de 159.474 EVP contre presque 172.000 EVP l'année précédente.
Jean-Rémy Villageois reconnaît que cette baisse est due à la perte des transbordements. Il rappelle que l'armateur français CMA CGM a dérouté mi-2015 ses volumes vers la Guadeloupe en raison des conflits sociaux qui avaient sévi à la Martinique.
