Si le port de Marseille-Fos doit essentiellement sa position dans les échanges intraméditerranéens à l'Algérie et à la Tunisie, il commence à voir les flux avec la Turquie augmenter et mise sur la future ligne ro-ro sur Tanger pour continuer à progresser sur le secteur.
La conférence intitulée "Ports et logistique en Méditerranée : stratégies et vision des flux en 2015", qui s'est déroulée à Marseille sur le salon Stim Med, à l'initiative de "L'Antenne", a été l'occasion de faire le point sur le rôle du port de Marseille-Fos dans les échanges intra-méditerranéens.
Pour le port phocéen, le bassin méditerranéen constitue un marché phare. Hervé Balladur, le président de Via Marseille Fos (VMF), l'organisme de promotion de la plate-forme portuaire, a rappelé que si le Maghreb constitue toujours un secteur géographique clé, c'est grâce à l'Algérie, qui qui demeure le premier client du GPMM, en termes de tonnages, tous bassins confondus, et à la Tunisie, un pays qui reste le premier partenaire des Bassins Est.
"Sur l'Algérie, le conteneur se développe beaucoup mais la remorque connaît en revanche une régression", souligne-t-il. Quant à la Tunisie, il rappelle qu'elle représente un trafic de 50.000 remorques par an.
Pour le port phocéen, le bassin méditerranéen constitue un marché phare. Hervé Balladur, le président de Via Marseille Fos (VMF), l'organisme de promotion de la plate-forme portuaire, a rappelé que si le Maghreb constitue toujours un secteur géographique clé, c'est grâce à l'Algérie, qui qui demeure le premier client du GPMM, en termes de tonnages, tous bassins confondus, et à la Tunisie, un pays qui reste le premier partenaire des Bassins Est.
"Sur l'Algérie, le conteneur se développe beaucoup mais la remorque connaît en revanche une régression", souligne-t-il. Quant à la Tunisie, il rappelle qu'elle représente un trafic de 50.000 remorques par an.