Mirepoix-sur-Tarn : causes encore inconnues, responsabilités à déterminer

Article réservé aux abonnés

Le pont qui s'est effondré lundi 18 novembre à Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne) n'était a priori "pas en mauvais état", selon plusieurs sources. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de la catastrophe, certains évoquant une "rupture sous surcharge".
Le pont était-il dégradé ? "Ce n'était pas un ouvrage classé à surveillance renforcée ou en état critique", assure Georges Tempez, du Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema). Cet organisme public avait réalisé en 2017 une inspection détaillée de l'ouvrage. Cette inspection "ne conclut pas à un ouvrage en mauvais état, que ce soit dans sa globalité ou sur des parties de l'ouvrage", précise le directeur de la direction technique infrastructures de transports et matériaux du Cerema. "Il y avait quelques préconisations d'entretien courant, des choses classiques, mais rien d'urgent". Faisait-il l'objet d'un suivi régulier ? Concernant le réseau routier national, des inspections doivent être conduites tous les six ans, explique Georges Tempez. Si la loi ne l'impose pas pour les infrastructures départementales, intercommunales ou communales, "beaucoup de collectivités…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualité

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15