L'Allemagne et la France seront les deux seuls pays européens à conserver leur place parmi les dix leaders du commerce mondial en 2050, d'après une étude de la banque HSBC.
Selon ce rapport intitulé "La 3e vague de mondialisation va modifier le visage du commerce international", l'Allemagne se maintiendra en 2050 dans le trio de tête du commerce mondial de marchandises, derrière la Chine et les États-Unis, pendant que la France reculera de deux rangs pour occuper la septième place. Les pays européens comme les Pays-Bas, l'Italie et la Grande-Bretagne disparaîtront en revanche des dix premières places, remplacés par des pays émergents comme la Corée du Sud ou le Mexique.
"En ce qui concerne la zone euro, même si son économie est amenée à croître de seulement 1 % par an jusque 2050, elle connaîtra tout de même une croissance de 40 % par rapport à aujourd’hui", explique Béatrice Collot, directrice Financement du commerce international chez HSBC.
Le rapport souligne toutefois "les opportunités" de la troisième vague de mondialisation pour l'Europe : "l'expansion de l'UE, la baisse des barrières au commerce international à travers la mise en œuvre d’un marché unique numérique et l'entente sur des accords commerciaux régionaux supplémentaires", précise-t-il.
La banque HSBC est convaincue, par ailleurs, que "le pays d'origine n'aura plus d'importance" en 2050 "puisqu'il y aura un plus grand équilibre mondial et que le monde des affaires sera accessible simplement en utilisant des données".
Selon ce rapport intitulé "La 3e vague de mondialisation va modifier le visage du commerce international", l'Allemagne se maintiendra en 2050 dans le trio de tête du commerce mondial de marchandises, derrière la Chine et les États-Unis, pendant que la France reculera de deux rangs pour occuper la septième place. Les pays européens comme les Pays-Bas, l'Italie et la Grande-Bretagne disparaîtront en revanche des dix premières places, remplacés par des pays émergents comme la Corée du Sud ou le Mexique.
"En ce qui concerne la zone euro, même si son économie est amenée à croître de seulement 1 % par an jusque 2050, elle connaîtra tout de même une croissance de 40 % par rapport à aujourd’hui", explique Béatrice Collot, directrice Financement du commerce international chez HSBC.
Le rapport souligne toutefois "les opportunités" de la troisième vague de mondialisation pour l'Europe : "l'expansion de l'UE, la baisse des barrières au commerce international à travers la mise en œuvre d’un marché unique numérique et l'entente sur des accords commerciaux régionaux supplémentaires", précise-t-il.
La banque HSBC est convaincue, par ailleurs, que "le pays d'origine n'aura plus d'importance" en 2050 "puisqu'il y aura un plus grand équilibre mondial et que le monde des affaires sera accessible simplement en utilisant des données".