Tous les opérateurs de vraquiers cotés profitent des conditions du marché. Leur résultat net semestriel de cette année est à l’égal de leur déficit d’il y a un an à la même période. La bonne conjoncture du marché du vrac sec accélère les développements et aiguise les stratégies. Dans des directions parfois opposées.
Après avoir concédé sept défaites consécutives, le Baltic Dry Index, la référence absolue pour avoir une idée des taux de fret pratiqués pour le transport en capesize, panamax, supramax et handysize des marchandises en vrac, a gagné une bataille. Le moindre agissement du BDI est actuellement scruté. Le moindre repli est percu comme une menace, celle d’une rechute, alors que le vrac sec connaît une véritable renaissance depuis le début de l’année après une décennie noire.
Depuis le début d’année, la forte appétence pour les matières premières, l’emballement…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?