Le pétrole à l'épreuve d'un marché qui en demande plus

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Entre la Russie, partenaire mis au ban de la communauté internationale, et l'Iran sur le point de revenir dans le jeu pétrolier, l'OPEP va devoir jouer finement. Alors que la demande pousse le marché, l'offre est en défaut. Curiosité géopolitique, l'apport du pétrole iranien est vécu comme un soulagement. 


Une guerre tombe rarement bien mais en l’occurrence elle tombe vraiment très mal. Elle cueille un marché pétrolier mal en point. La demande mondiale de pétrole est en passe de remonter à des niveaux pré-pandémiques dans les mois à venir. Or les stocks de pétrole dans l'OCDE sont à leur plus bas niveau depuis 2014, à 255 millions de barils, en dessous de leur moyenne sur cinq ans.

La capacité de production pétrolière en réserve mondiale est d'environ 4 millions de barils par jour. Les prix du Brent et du brut américain WTI atteignent des sommets inégalés depuis huit ans, autour de 100 $, dopés par les craintes d'une perturbation de l'approvisionnement…
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