À l’instar de Maersk, le transporteur allemand a publié des résultats semestriels en forte hausse. L’entreprise a réduit ses dettes, accru ses liquidités et s’attend à un bénéfice annuel avant intérêts entre 6,2 et 7,9 Md€. Mais son PDG, Rolf Habben Jansen, n’entrevoit pas de normalisation dans les chaînes d'approvisionnement mondiales avant le premier trimestre de 2022.
Grâce à « des taux de fret nettement plus élevés en raison de la rareté des capacités de transport », selon les justifications de Hapag-Lloyd, la compagnie allemande est au diapason de ses estimations préliminaires publiées il y a quelques jours.
L’armateur a réalisé sur le premier semestre un Ebitda (bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement) de 3,5 Md€ et un Ebit (bénéfice…
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