Avec la mise à l’arrêt de ses industries, la Chine, qui absorbe près de 14 % de la production mondiale de pétrole, a coupé net ses flux. Les VLCC, dont les taux de fret avaient été temporairement ragaillardis par les sanctions américaines, retrouvent leurs vraies couleurs : un noir « smokey ». Mais le marché est plastique...
« La peur du coronavirus Covid-19 va probablement s'estomper dans trois à six mois, tout comme cela a été le cas pour le SRAS, le H1N1 et le MERS en 2003, 2009 et 2012 », pose un analyste. Il n’est pas seul à penser que si le virus suit le même schéma que son cousin de 2003, la reprise de l'économie et de la demande de pétrole sera rapide, une fois la propagation stoppée. C’est ce à quoi s’est intéressé le courtier Poten & Partners. Pour modéliser les impacts potentiels sur le marché du pétrole, il s’est appuyé sur le syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV), qui a tué…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?