Les propriétaires de navires devront finaliser dès cette année des décisions d'investissement qui auront un impact sur les émissions de gaz à effet de serre pour les 25 à 30 prochaines années, soit la durée de vie d'un navire. Á en juger par le bilan des commandes passées l’an dernier, des arbitrages commencent à s’opérer. Les investissements dans les carburants alternatifs ont contribué à hauteur de 6 % à l’augmentation en valeur des commandes.
« 2023 sera l'année où l'équation entre l'offre et la demande résoudra la grande énigme du transport maritime : le choix du carburant pour la prochaine génération de navires », a déclaré dans la presse Carl Schou, président de Wilhelmsen Ship Managment, convaincu de la montée en puissance du méthanol dans les arbitrages à venir. Pour d’autres, la propulsion assistée par le vent sera la grande affaire, tant pour la modernisation…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?