Pour décarboner ses raffineries européennes, le groupe pétrolier et gazier français lance un appel d'offres dont les volumes requis en hydrogène vert sont de nature à envoyer un signal fort au marché pour déclencher des investissements.
Les volumes annoncés de 500 000 t sont de nature à amorcer la pompe à production et à donner un coup de peps à la filière hydrogène que l’on dit très prometteuse mais qui n’en demeure pas moins aux balbutiements. Cela peut être considéré comme un signal fort envoyé au marché dans la mesure où aucun des électrolyseurs nécessaires à la production de telles quantités n'est encore en activité dans le monde.
Le groupe pétrolier et gazier français entend substituer d'ici 2030 de l'hydrogène d’origine renouvelable (par électrolyse grâce une électricité éolienne ou solaire) à l'hydrogène gris (à base de méthane) auquel il a aujourd’hui…
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