Après quinze ans de discussions, la Convention sur la gestion de l’eau de ballast s’applique aux navires neufs et anciens depuis le 8 septembre 2019. Tous doivent être équipés d’un système de traitement de façon à éviter la prolifération d’espèces aquatiques potentiellement invasives, tels planctons, larves, microalgues ou bactéries, embarqués à leur insu lors des ballasts.La mise en conformité de l’ensemble de la flotte s’étalera jusqu’en 2024. En devenant obligatoire, un marché s’est créé autour des technologies de traitement des eaux, technologies diverses et variées mais passant toutes par une certification OMI. Certains pays exigent un agrément supplémentaire. C’est le cas des États-Unis via l’US Coast Guard (USCG). Ainsi Bio-UV, la seule entreprise française, a priori, à être certifiée par l’OMI, bénéficie en outre d’une accréditation américaine. Trois modes de traitement des eaux, inspirés de méthodes…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?