28 520 $. C’est le revenu journalier enregistré le vendredi 16 avril par les capesize. À l’instar des autres navires du segment du vrac sec, les grands vraquiers profitent de l’embellie que connait le marché depuis le début de l’année. Au point que certains n’hésitent plus à évoquer un nouveau « super-cycle » en référence à la décennie dorée qui a précédé la faillite de Lehman Brothers.
Avec sa capacité de transport jusqu’à 180 000 t, le capesize a pour principaux clients le minerai de fer – sur de longs trajets depuis le Brésil, mais aussi sur des volumes importants depuis l'Australie – et le charbon mais dans une moindre mesure. Habituellement, les plus grands navires du segment du sont peu employés en début d’année. Cette année, ils ont fait mieux qu'ils ne l'avaient fait en une décennie bien que fidèle à leur trajectoire chaotique : affrétés à 26 000 $/j à la mi-janvier…
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