Plusieurs projets d’automatisation sont en cours actuellement en Espagne. Le groupe Bergé est en train d’automatiser le terminal 2 (conventionnel) du port de Bilbao. Tepsa a adopté une démarche identique pour le terminal de vracs liquides dans le même port tandis qu’Eiffage a opté pour une installation automatisée pour le futur terminal de vracs secs du port d’Alicante. Dans les conteneurs, l’Espagne (17,2 MEVP traités en 2018, dont 9,3 MEVP en transbordement) dispose déjà de deux terminaux semi-automatisés depuis près d’une décennie.Les opérateurs voudraient aller plus loin dans la digitalisation et l’automatisation. « Les ports vont bien mais nous perdons des opportunités par rapport à nos concurrents », a expliqué, en début d’année lors d’une conférence à Bilbao, Pedro García Navarro, secrétaire général d’Anesco, l’organisation qui regroupe les opérateurs de terminaux à conteneurs.Les autorités portuaires…
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