Une convention pour les trois ans à venir
Lors du « Smart Port Day », le French Smart Port In Med a franchi une nouvelle étape en signant une convention pour les trois prochaines années. Tour d’horizon des points de vue des signataires, ou non, de cette convention.
Axé sur la logistique intelligente, la performance industrielle et énergétique et l’offre digitale, French Smart Port In Med a franchi une nouvelle étape le 4 juillet 2019 lors de la signature d’une convention pour les trois prochaines années associant des acteurs publics et privés. Ceux-ci sont : l’État, la Banque des Territoires, la région Sud, la métropole Aix-Marseille-Provence, le département des Bouches-du-Rhône, la Ville de Marseille, Euroméditerranée, l’Union maritime et fluviale, CMA CGM, EDF, Hammerson, Naval Group, Traxens.
Les nouveaux venus dans cette démarche : l’Union maritime et fluviale, Traxens, la Ville de Marseille ou encore la Caisse des Dépôts. « La Banque des Territoires intervient déjà sur la Smart City et le port est dans la lignée de nos actions. Nos axes stratégiques sont le numérique, le développement durable et l’attractivité. Nous travaillons sur des sujets disruptifs, nous finançons des études et collaborons à un projet-pilote (avec la mission interministérielle Rhône-Saône-Méditerranée, NDLR) sur l’axe Rhône-Saône pour introduire la blockchain comme tiers de confiance dans les transactions. Un autre enjeu majeur porte sur l’alimentation des navires au gaz naturel liquéfié. Nous regardons actuellement des dossiers en tant qu’investisseurs, afin de réduire l’empreinte carbone. La Banque des Territoires, aux côtés de Vinci, va également donner une nouvelle vie au J1 et nous sommes les propriétaires du Castel », détaille le directeur régional de la banque publique Richard Curnier.