Lors de sa dernière assemblée générale, le 25 janvier, Antoine Cardon, délégué général du Syndicat national du transport léger (SNTL), s’est exprimé au nom du conseil d’administration .
Après une présentation de l’état des finances marqué par un chiffre d’affaires et des cotisations en baisse et un sponsoring en hausse, il a profité de l’occasion pour revenir sur les chantiers de l’année.
Encadrement de l'activité
Ainsi, en 2018, le SNTL a mis l’accent sur différents points, à commencer par la défense de ses métiers. Dans ce cadre, le syndicat demande à "charter les plateformes de cotransport de colis", afin d’encadrer leur activité et d’éviter les débordements. Il souhaite " inscrire les plateformes d’intermédiation au registre des commissionnaires de transport, étant donné qu’elles en ont tous les attributs".
Enfin, il milite contre les chartes sociales auto-rédigées, et pour le respect des entreprises au code du travail, afin qu’elles évoluent sur un pied d’égalité.
Un groupe de travail sur la reverse logistique
Au chapitre, transition écologique, le délégué a rappelé la mise en place d’un groupe de travail sur le thème de la reverse logistique, et les tractations effectuées auprès de la mairie de Paris sur la question des zones de travaux et des places de stationnement dédiées à la livraison.
Lire l'intégralité de l'article dans L'Officiel des Transporteurs n°2959 du 1er février 2019.