Productivité : le casse-tête des retours à vide

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Certaines activités génèrent, par nature, plus de retours à vide que d’autres. Les tarifs doivent donc être négociés en conséquence.

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Dans une filière marquée par une faible rentabilité, l’optimisation des chargements est un enjeu majeur. Rouler à vide est la hantise des exploitants. De nombreux outils sont à la disposition des transporteurs pour améliorer leur productivité, à commencer par les bourses de fret.
Transformer les "retours" en "allers". Pour Frédéric Leblanc, Pdg des Transports Mousset (85), la seule solution valable pour éviter les parcours à vide est d’avoir des clients déportés que l’on charge pour les trajets retours. Une stratégie qui suppose déjà de disposer d’un maillage territorial conséquent… et de (très) bons commerciaux. En complément, le groupe vendéen dispose de trois bureaux de fret internes qui privilégient évidemment la flotte maison. On n’est jamais mieux servi que par soi-même et cela permet de conserver une partie de la marge. Voilà pour la théorie.
Dans la pratique, nombreux sont les transporteurs à lutter chaque jour pour limiter la casse d’un retour à vide. Avec plus ou moins de succès selon les saisons – le mois d’août et la fin d’année sont des périodes de vaches maigres. En Bretagne, BSL Logistique avoue ainsi effectuer jusqu’à 35 % de ses retours à vide lors de ses trajets…
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