Port de Toulon : une alternative mer-fer pour le marché turc

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L’essor du trafic roulier d’UN RO RO ne se dément pas depuis 1994, année de création de la compagnie par des transporteurs routiers turcs désireux de trouver une solution alternative au tout route. UN

Crédit photo © NBC
Le port de Toulon veut investir 5 M€ dans la réhabilitation de la ligne de chemin de fer située à Brégaillon. Objectif : basculer sur le rail une partie des 55 000 remorques annuelles arrivant de Turquie par mer pour les acheminer vers le nord de la France et la Grande-Bretagne.
De 2011 à fin 2016, quelque 250 000 remorques auront voyagé entre Pendik (Turquie) et Brégaillon (port de Toulon), soit un peu plus de 55 000 unités par an.
"Nous effectuons trois rotations par semaine depuis 2015. Nous pourrions passer à quatre escales hebdomadaires si Toulon bénéficiait d’une connexion ferroviaire vers Paris, Calais et Lyon. Cela générerait davantage de fret et diminuerait les remorques sur les routes", a expliqué Sedat Gümüsoglu, président de l’armement turc U.N. Ro-Ro, en visite le 19 juin dernier à Toulon.
Une connexion au fer en 2018 au plus tard
Pour accompagner la montée en puissance de la ligne, la CCI du Var multiplie les investissements : réfection des parkings, aménagement de chaussées lourdes, amélioration des flux de circulation, création d’une zone internationale, remise aux normes du hangar sous douane. Les travaux initiés fin 2015 doivent se poursuivre jusqu’en 2017 pour…
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