Présidence italienne de l'UE : de l'ambition pour les transports, mais peu de marge de manœuvre

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le gouvernement de Matteo Renzi entend donner une impulsion nouvelle au financement des corridors européens, mais les institutions suivront-elles ?

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La présidence italienne de l'UE veut pousser le financement des infrastructures de transport pour "booster "la croissance. Mais l'issue des dossiers transport dépend d'abord des nouvelles institutions européennes.
"Une belle journée se voit dès le matin !". C’est par cette formule que l’ambassadeur d’Italie en France, Giandomenico Magliano, a souhaité définir l’esprit de la présidence italienne de l’UE pour le second semestre.
Auditionné le 16 juillet par la commission des affaires européennes à l’Assemblée nationale, le diplomate a précisé que le gouvernement de Matteo Renzi entendait donner une impulsion nouvelle au financement des corridors européens dont la liaison ferroviaire Lyon-Turin pour "booster" la croissance au sein des 28 États membres.
Encourager l'investissement vers les infrastructures
Cela passe par l'amélioration du cadre réglementaire afin d'encourager l’investissement à long terme et orienter les flux d’épargne privés vers le financement des projets d’infrastructures. Encore faut-il que les "projects bonds" ou obligations de projets, partiellement garantis par la Banque européenne d’investissement (BEI), soient choisis par des opérateurs (sociétés de projets).…
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