Les coursiers vélos bientôt secoués par "l’ubérisation" ?

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Le coursier deux-roues non motorisé, profession depuis peu reconnue par la convention collective des transports routiers.

Crédit photo © Benoît Barbedette
Le phénomène Uber fait boule de neige en zone urbaine : des particuliers se transforment en livreur à domicile et les professionnels craignent la banalisation du métier de coursier vélo, récemment intégré dans la convention collective nationale des transports routiers.
Le 12 décembre 2014, le métier de coursier vélo a changé de statut. Il a été intégré dans la convention collective nationale des transports routiers a été actée par la signature d’un avenant n°104 ("Coursiers en véhicules non motorisées" paru au JO du 2 avril 2015), étendu à toutes les entreprises concernées par les métiers de la course, adhérentes ou non à une organisation professionnelle.
"Cet avenant a été signé afin de protéger ces personnels qui réalisent des prestations marchandes de transports pour le compte d’autrui. Avec les organisations syndicales, nous avons travaillé pendant deux ans sur cet avenant. Il risque de devenir très vite obsolète au vu des pratiques actuelles dans l’ultra-urbain, où des anonymes et des particuliers se transforment en livreur", souligne Stéphane Choquet, président du SNTL (syndicat national des transports légers).
Une "ubérisation" rampante en secteur urbain
De fait, en zone…
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