L'industrie chimique française paye le blocage des ports et des tranports

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Le terminal pétrolier de Fos, bloqué par les conflits depuis septembre 2010, est à la fois un point d'entrée des matières premières et de sortie des produits chimiques.

Crédit photo © GPMM
L'industrie chimique française chiffre à 100 millions d'euros par jour le coût du conflit sur les retraites. Son activité a notamment souffert des perturbations dans les transports : ports bloqués, transports routiers et ferroviaires perturbés.


La chimie française, deuxième au niveau européen et cinquième sur le plan mondial avec 67,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2009, souffre davantage "des effets indirects" de la grève que de l'arrêt temporaire de certaines usines chimiques.
Premier de ces facteurs indirects : le blocage des terminaux de Fos-sur-Mer et Lavera (Bouches-du-Rhône) dans le grand port maritime de Marseille (GPMM) depuis fin septembre 2010. Le GPMM est à la fois une porte d'entrée importante pour les matières premières et une zone de sortie pour les produits chimiques.
La paralysie du port de Marseille coûte cher
Entre fin septembre et mi-octobre 2010, la seule paralysie du port de Marseille a coûté 550 millions d'euros de chiffre d'affaires à la chimie française, dont 300 millions d'euros en exportations empêchées. "À fin octobre, on est passé plutôt…
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