Publié le : Dernière Mise à jour : 13.04.2023Par : Véronique Vigne LepageLecture : 2 min.
Les représentants de quatre institutions majeures de la recherche ont été auditionnés par la mission sénatoriale d’information sur le développement d’une filière de biocarburants, carburants synthétiques durables et hydrogène vert. À la clé, un état des lieux qui trace quelques pistes dans le brouillard dans lequel se sentent parfois les transporteurs … malgré des inquiétudes sur les coûts.
Les sénateurs membres de la mission d’information sur le développement d’une filière de biocarburants, carburants synthétiques durables et hydrogène vert se sont offert, le 28 février, un large tour d’horizon de la recherche en la matière, en auditionnant des représentants de l’Agence nationale de la recherche (ANR), de l’IFP Énergies nouvelles (Ifpen), du CEA et du CNRS.Premier constat : « Il n’y a pas de solution technologique unique », aucune ne pouvant répondre à tous les besoins, explique Thibault Cantat, directeur de recherche au CEA, organisme qui conçoit donc des « briques technologiques » pour les trois filières. Pour l’hydrogène décarboné, « la maturité de la technologie permet déjà de débuter le déploiement industriel massif », assure-t-il. Un…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
