Mal quantifiée, l'utilisation des palettes alimentaires représenterait 140 millions d'unités en France. LPR (La Palette Rouge) mise sur des process automatisés de tri et de rénovation pour donner l'avantage à la "palette locative", en concurrence avec le système d'échanges.
À Saint-Martin-de-Crau (13), LPR (La Palette Rouge) est aux petits soins de ses palettes en bois. Logique, c'est son actif principal. Spécialiste de la location-gestion de palettes, la société toulousaine, filiale depuis quatre ans du groupe Euro Pool, a investi 1,5 M€ dans un centre qui abrite une nouvelle ligne automatisée de rénovation et de tri des palettes, qui pèsent entre 20 et 40 kg selon leurs dimensions (palette Europe, palette Düsseldorf, demi-palette, palette Display…).Sur 11 000 m2, le centre traite 22 000 palettes et compte 80 mouvements de camions par jour (soit 3 à 3,5 millions de palettes traitées par an) à destination des clients du Sud-Est. Il est l'un des 14 sites de LPR en France, les plus importants étant à Gisors (69) et Marolles (91).
Le locatif, un modèle d'économie circulaire
Pour LPR, il s'agit de monter en gamme sur un marché français qui compte environ 140 millions de palettes…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?
