Publié le : Dernière Mise à jour : 13.04.2023Par : Guillaume PierreLecture : 8 min.
La pression des clients chargeurs augmente sur les transporteurs dans le but d’avoir un retour, en temps réel, sur la livraison des colis et marchandises. Pour y faire face, les transporteurs font entrer leurs logiciels de gestion du transport dans la « moulinette » des interfaces de programmation, qu’on nomme API.
Au regard des nouvelles solutions progicielles et des modules additionnels, tout peut-il s’interfacer et dialoguer avec tout, selon le principe de l’économie collaborative et de l’open data ? L’entreprise qui investit dans ces systèmes en perpétuel développement, coûteux en temps et en monnaie, peut-elle raisonnablement dormir tranquille ? Ces deux questions sont dans l’air du temps, inspirées par les nouvelles technologies mobiles et l’émergence des web services.Au point de départ, il y a le TMS (Transportation Management System), logiciel de gestion des flux et pierre angulaire des plans de transport. Il sert d’abord à géolocaliser son parc de véhicules et à dispatcher les ordres. En ajoutant des modules, le TMS peut prendre en charge des fonctionnalités « métiers » avancées (comme l’optimisation de tournées et de chargement). Pour…
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