Les limites de l’interopérabilité

« La seule solution claire et limpide est pour l’heure celle de Satellic, pose d’emblée Guillaume Cunty, directeur général de DKV Euro Service France. Les transporteurs ont besoin de savoir au plus vite à quoi s’attendre en termes financiers. Le boîtier Satellic permet d’ores et déjà de réaliser des simulations de prix en ligne en fonction des caractéristiques des véhicules », argue le responsable de la société, qui distribue l’OBU belge. Vérité vraie ou discours commercial, le prestataire presse les transporteurs de s’enregistrer au plus vite s’ils souhaitent recourir dès le 1er avril au post-paiement. « À compter de la mi-mars, il va devenir très difficile d’éviter le pré-paiement et donc la queue aux points de vente », assure-t-il. Pour ceux qui choisiraient cette dernière formule, soit de manière transitoire, soit en raison de trafics très ponctuels outre-Quiévrain, la DKV Card permet de régler la caution de 135 €, de retirer le boîtier et de créditer le montant…