Publié le : Dernière Mise à jour : 17.04.2023Par : Loïc FieuxLecture : 5 min.
La vague de start-up s’est intéressée prioritairement à la partie la plus facile de l’activité de commissionnaire de transport. Elle se concentre sur le fret industriel traditionnel, qui représente l’essentiel des volumes et permet d’amortir les algorithmes. Pour des besoins, des flux et des marchés spécifiques, le commissionnaire traditionnel reste souvent le meilleur interlocuteur. Pour le transporteur, miser exclusivement sur l’une des solutions numériques du marché est risqué puisque les prestataires concernés ont rarement plus de cinq ans d’ancienneté.
Les solutions numériques doivent retenir l’attention des transporteurs. Elles facilitent l’établissement d’un plan de transport, participent à la qualité du service ainsi qu’à la fiabilité des données et à la réduction des kilomètres à vide. Chargées de fournir du fret en spot ou en régulier, les plateformes animent la numérisation du transport. Elles apportent une traçabilité et des indicateurs de performances (KPI) à différents niveaux. Pour un industriel, il est difficile d’avoir une vision globale de sa chaîne logistique. « On estime que parmi les industriels et chargeurs qui utilisent…
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