Belgique et Pays-Bas : de petits pas avant le grand bond en avant

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Il y a davantage de projets de bateaux innovants avec de nouvelles motorisations et de nouvelles énergies aux Pays-Bas qu’en Belgique. Dans ces deux pays, comme en France, la pression est forte pour accélérer sur la transition énergétique du fluvial.


«Le constat de départ est que la même solution n’est pas nécessairement intéressante pour l’ensemble de la flotte », explique Bas Kelderman, senior project manager auprès de l’EICB, le centre néerlandais d’expertise et d’innovation pour la navigation intérieure. « Prenez les systèmes de post-traitement. Ils permettent un gain rapide en termes de réduction des émissions, mais ils nécessitent des investissements qui - pour un batelier - peuvent être élevés. Il faut vérifier pour chaque bateau quel est l’effort à fournir et le rendement qu’on peut en tirer. Cet exercice est rendu plus complexe par des facteurs sur lequel l’opérateur fluvial n’a pas prise. Le gaz naturel liquéfié peut être intéressant pour certains bateaux et dans certains modes d’exploitation, mais une baisse du prix du diesel peut sensiblement modifier la donne économique ».
À cela s’ajoute le fait que si la technologie actuelle est peut-être…
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