Le transport maritime se met à l’heure de la Blockchain

Cette solution devrait d’autre part réduire la complexité et la variété des échanges de documents, les sociétés pouvant recourir à divers systèmes de communications tels que l’email, l’EDI.

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La blockchain séduit de plus en plus dans le monde maritime. Plusieurs armateurs et opérateurs de terminaux viennent de franchir le pas. A la clé : un précieux gain de temps dans la collecte et la conslidation des données nécessaires à l'établissement des documents de transport.

A l’image de Maersk et de son partenaire IBM, plusieurs acteurs du transport maritime se sont associés à l’éditeur américain CargoSmart pour développer une plate-forme d’échange basée sur la Blockchain nommée Global Shipping Business Network (GSBN).

Il s’agit des armateurs CMA CGM, Cosco Shipping Lines, Evergreen Marine Corp, Orient Overseas Container Line (OOCL) et Yang Ming ainsi que des opérateurs de terminaux DP World, Hutchinson Ports, PSA International, et Shanghai International Port Group.

Un temps de collecte réduit

L’éditeur prévoit une réduction de 65 % du temps passé à collecter, consolider et confirmer les données nécessaires à l’établissement des documents de transport, sachant qu’une expédition maritime demande en moyenne 30 documents, et plus encore lorsqu’il s’agit de marchandises sensibles ou dangereuses.

Cette solution devrait d’autre part réduire la complexité et la variété des échanges de documents, les sociétés pouvant recourir à divers systèmes de communications tels que l’email, l’EDI ou autres formulaires en ligne. CargoSmart n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà travaillé avec Oracle sur le développement de la solution Oracle Blockchain Cloud Service

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