Dans l'Ouest, des "routes connectées" et des voitures communicantes vont permettre aux conducteurs de recevoir et de délivrer des informations sur d'éventuels dangers, un système qui doit améliorer la sécurité routière.
Lancé en 2014, le projet Scoop, cofinancé par la Commission européenne, a permis d'implanter une centaine d'antennes spéciales, à un millier d'euros pièce, sur des routes nationales et départementales, offrant un réseau d'environ 500 km de routes connectées en Bretagne et en Loire-Atlantique, un des cinq sites pilote en France.
Le site de l'Ouest, qui comprend le périphérique de Nantes, est désormais "opérationnel", se félicite Katell Kerdudo, chef du service mobilité-trafic à la Direction interdépartementale des routes (DIR) Ouest, lors de la présentation du projet mardi 17 décembre à Pleumeleuc (Ille-et-Vilaine).
Concrètement, un conducteur, témoin d'un événement sur la route, comme un accident ou la présence d'un piéton, appuie sur un pictogramme de l'écran de l'ordinateur de bord qui est ensuite capté par une antenne et transmis à un CGIT (Centres d'ingénierie et de gestion du trafic) qui diffuse l'information aux autres véhicules du secteur.
L'information peut également venir de l'usage d'un ABS, des antibrouillards ou d'un airbag "ce qui permet de donner l'information aux véhicules qui sont en approche et d'adapter la conduite", explique Katell Kerdudo. Ainsi, les informations peuvent venir de trois sources : le conducteur en tapant sur l'écran digital, les capteurs dans le véhicule ou le gestionnaire routier.
Le site de l'Ouest, qui comprend le périphérique de Nantes, est désormais "opérationnel", se félicite Katell Kerdudo, chef du service mobilité-trafic à la Direction interdépartementale des routes (DIR) Ouest, lors de la présentation du projet mardi 17 décembre à Pleumeleuc (Ille-et-Vilaine).
Concrètement, un conducteur, témoin d'un événement sur la route, comme un accident ou la présence d'un piéton, appuie sur un pictogramme de l'écran de l'ordinateur de bord qui est ensuite capté par une antenne et transmis à un CGIT (Centres d'ingénierie et de gestion du trafic) qui diffuse l'information aux autres véhicules du secteur.
L'information peut également venir de l'usage d'un ABS, des antibrouillards ou d'un airbag "ce qui permet de donner l'information aux véhicules qui sont en approche et d'adapter la conduite", explique Katell Kerdudo. Ainsi, les informations peuvent venir de trois sources : le conducteur en tapant sur l'écran digital, les capteurs dans le véhicule ou le gestionnaire routier.